PERSPECTIVE

Mais alors comment mettre en musique un rêve réaliste et au lieu de l’anesthésier jouer les princes charmants et réveiller la belle endormie.

En partant du principe évident que l’oignon fait la sauce on peut considérer que le SDC est l’association qui représente le mieux l’avenir monjovial et en futurologue averti anticiper les étapes suivantes :

1ère étape : Des propriétaires décident de remettre en état en commun leurs terres : réunions, brainstorming, recherche de fonds… Le SDC s’organise en service qui propose son aide et compétence pour : débroussaillage, clotûre, accès, labour, fauchage, arrosage, plantation…

Projet cohérent et suivi de réhabilitation à long terme – il ne va pas en sortir des revenus avant longtemps – mais un peu d’emploi, une amélioration du cadre de vie.

2ème étape : On avance. Horticulture, pépinière, élevage, fruitier, vigne, réseau commercial élargi entre montagnols et païsbassds, ateliers de transformation, tourisme local, auberges, mouvement intercommunal.

3ème étape : Les produits « Monsjovis » appelation certifiée acquièrent une réputation de qualité qui attire l’attention des grandes entreprises de distribution alimentaire.

A qui allons-nous nous vendre ?

Cette chronique qui paraît sur le site Montjoi a une ambition. Celle d’abord de déclancher des réactions de ceux directement intéressés. De tous ceux aussi qui soutiennent un mouvement alternatif qui s’amplifie : entre autre exemple le vignoble Terrahominis dans l’Hérault c’est un exemple de crowdfunding il y a d’autre voies et bien des vocations Colibri, permaculture, bio, biodynamique et bien des possibilités : vignes, noix, olives, truffes, bois, escargots, fruits rouges, fruits secs, parc touristique, recherche… Qu’un débat commence et qu’il enchaine sur une dynamique !